top of page

TRANSMETTRE

Salons, rencontres et tournées
​

 

  • Je fais souvent d’heureuses rencontres, dans les Salons du Livre, dans les tournées scolaires ou lors de rencontres en bibliothèques. Les étudiants, surtout, sont souvent curieux de savoir comment on s’y prend pour écrire, quelle discipline il faut adopter pour être efficace, bref, tout le côté « mécanique » de l’écriture.
     

  • Ils sont souvent surpris d’apprendre que je n’ai pas besoin de m’isoler pour écrire. J’écris partout, chez moi comme ailleurs, dans mon bureau ou au salon, dans une bibliothèque ou sur un banc public. Je suis de plus en plus un écrivain nomade...
     

  • J’écris dans des carnets et dans des petits cahiers que je traîne toujours avec moi dans mon sac à dos.
     

  • Avant, j’écrivais au crayon de plomb, ce qui me permettait d’effacer au lieu de raturer. Mes brouillons étaient toujours très propres. Mais je perdais un temps précieux. Aujourd’hui, j’utilise une plume à encre noire et je n’ai pas peur de raturer. Ça donne une vision claire de tout ce qui a été fait, de tous les changements qui ont été effectués.
     

  • Quand je travaillais plus souvent à la maison, à l’époque où j’écrivais des scénarios, je travaillais directement à l’écran, sans faire de brouillon sur papier.
     

  • Après, au lieu de m’acheter un portable, je suis revenu au papier et à la plume, car j’aime le contact « physique » de ma main écrivant, j’aime qu’entre ma tête et le papier, mes mots naissent avec de l’encre.
     

  • Certains de mes romans ont été mis à l’étude par le ministère de l’Éducation. Des étudiants du secondaire, du Cégep et même de l’Université m’ont lu, étudié, critiqué.

bottom of page