MÉDIAS
Ce que les journaux et périodiques en ont dit...
La plupart des romans et nouvelles de Jacques Lazure ont fait l'objet de critiques dans les médias. Des entrevues, des tables-rondes ont eu lieu pour discuter des thèmes abordés dans son écriture. De plus, des universités et collèges ont intégré ses romans à leur programme.
LE PISTEUR DE VINYLES
« L’histoire, truffée d’actions et de voyages, parcourt les lieux qui ont été les temples du rock : Vancouver, Los Angeles, New-York, San Francisco, Seattle et même Tokyo »
Mélanie Thibault, Châteauguay Express, 18 janvier 2012
« Les disques vinyle connaissent une résurgence, mais qui les collectionnera encore dans 200 ans? Le romancier Jacques Lazure nous fait découvrir dans Le pisteur de vinyles les collectionneurs de l'avenir, dans une intrigue policière sur une trame de musique heavy metal. »
Radio-Canada, Bouillant de culture avec Patrick Masbourian
R.I.P.
« Ce récit fluide nous entraîne sur une piste inquiétante avec la nonchalance et l’aplomb inhérents à l’adolescence. »
Chloé Varin, Le journal de Montréal, samedi 14 novembre 2009
« R.I.P. est un texte bref et efficace, bien écrit. Une nouvelle fantastique qui se lit d’un trait! »
Anne-Marie Aubin, Journal Mobiles, 19 décembre 2012
VARGÖLD, LE TEMPS DES LOUPS
« Vargöld a une saveur particulière puisqu’il se déroule dans nos forêts et s’inspire de nos légendes. L’épouvante tricotée pure laine. »
Christophe Bergeron, Voir, 23 octobre 2008
« Sans apprêt, Jacques Lazure redonne à notre folklore le sens effrayant que tant d’amateurs de contes continuent à négliger. D’un fantastique usé jusqu’à la corde, il tire le roman neuf de notre servitude. »
Michel Lapierre, Le Devoir, novembre 2008
LA MANDRAGORE
« Pendant presque 500 pages, Jacques Lazure nous fait plonger dans une aventure complexe et riche, bourrée de références qui feront frémir de plaisir ceux qui les possèdent. Quant aux autres, leur bonheur de lecture n’en sera pas moins grand. Car le romancier prend aussi soin d’eux. »
Sonia Sarfati, Entre les lignes, automne 2007
« Vive et précise, la plume de Jacques Lazure rend l’histoire captivante et les personnages crédibles. »
Véronique Pépin, Le Sabord, mars 2008
« La mandragore nous emmène dans un monde merveilleux qui ressemble à l’univers du conte. Le lecteur suit le héros d’une aventure à l’autre, d’un pays à un autre, sans jamais s’ennuyer. »
Anne-Marie Aubin, L’Unique, juin 2008
LES OISEAUX DÉGUISÉS
« Un peu à l’image du personnage, le roman, très bien écrit, rejoint le coeur et la tête. »
Stéphane Despatie, Voir, 27 nov. au 3 déc. 2003
« Une agréable métaphore du désir contradictoire que chacun porte en soi, celui de connaître sa propre vérité sans en briser la magie du mystère. »
Catherine Paradis, Québec Français, printemps 2004
« Porté par une écriture sobre et efficace, le roman se double d’une méditation sur l’incapacité, le refus, même, de regarder la réalité en face, de s’affranchir des idées qu’on se fait du réel ou des autres. Une des belles surprises de l’automne littéraire québécois. »
Stanley Péan, émission littéraire Bouquinville, Radio-Canada, 2004
LES CHASSEURS D’ÉTERNITÉ
« Une quête, plus qu’un roman. Dans un style très narratif, il nous transporte dans l’ailleurs inventé de Jacques Lazure. Le dépaysement est complet. »
Pierre Joseph Cloutier, L’Échappée Belle, mai 2004
« Scènes de violence et rêves de paix alternent. Le roman aurait mis en scène des peuples d’aujourd’hui que le propos général aurait été le même. Les hommes rêvent toujours de paix, mais font la guerre en l’attendant. »
Jean Vigneault, Le Courrier, 4 février 2004
LLDDZ
« Il n’y a franchement pas grand-chose à reprocher à cet excellent roman, surtout pas un manque d’imagination. Mélange d’horreur et de fantastique, Llddz est un bel hommage au pouvoir et à la magie de l’écriture. »
Laurine Spehner, Lurelu, vol. 24, no 2, automne 2001
« Jacques Lazure frôle l’énigme sans jamais la dévoiler, soulève de nouvelles questions à mesure qu’il répond aux premières, évoque des lieux secrets mystérieux et dangereux, des personnages dont on n’est jamais sûr, si bien que l’on poursuit sa lecture dans la hâte, le souffle court, complètement happé par l’univers proposé et l’atmosphère envoûtante du récit. »
Gisèle Desroches, Le Devoir, 7-8 avril 2001
« Il n’y a pas que J.K. Rowling qui peut se vanter d’écrire de très longs romans pour la jeunesse, Jacques Lazure a relevé lui aussi le défi de garder ses lecteurs attentifs durant 388 pages. (...) Avec beaucoup d’imagination, il envoûte ses lecteurs; les amateurs de fantastique seront ravis, tout autant que les passionnés d’écriture qui découvriront ce monde étrange, cet univers de consonnes dominé par Nrgl. Plongez vite dans ce roman extraordinaire et Bnn lctr!!! »
Sylvie Rheault, Club Culture (site web)
LE JARDIN FROISSÉ
« L'auteur a choisi le mode du journal intime pour donner la parole à son personnage, qui, pendant un été, va donc transcrire sur papier son apprentissage du deuil aussi bien à travers les gestes quotidiens, comme manger, fumer — ces gestes qui n'ont plus tout à coup l'automatisme habituel, — qu'en laissant surgir les souvenirs et les émotions. [….]
Si l'on peut ressentir quelque impatience envers Bruno et son refus d'approfondir les maux clés de son être […] on se laisse toucher par l'œuvre démente qu'il entreprend, alors qu'il charrie à la petite chaudière une tonne de sable fin du jardin où il l'avait d'abord fait déverser au salon où est morte sa belle, comme s'il traversait un salblier (sic), passant du passé au présent, dans un désir acharné de se comprendre, et, en fin de compte, de parler vrai. Gageons que Jacques Lazure n'a pas dit son dernier mot. »
Julie Sergent, Lettres québécoises, (99), 23–24
LE RÊVE COULEUR D’ORANGE
« Des trouvailles et un univers riche de sens à la hauteur des autres romans de Jacques Lazure. »
Gisèle Desroches, Le Devoir, 26-27 avril 1997
« Un ailleurs à la fois lointain et réaliste. Là est la force de Jacques Lazure : dans le cas présent, il parvient à nous faire croire en l’existence de ces Fkions (soldats programmés pour détruire) et à ses personnages prénommés Oznael, Aoza... »
Sonia Sarfati, La Presse, 23 novembre 1997
MONSIEUR N’IMPORTE QUI
« On plonge dans un futur noir, noir. Mais fascinant. Et parfois fort acide - « le dernier saumon rose », par exemple, nous fait voir la vraie couleur de la politique et de ceux qui la font! »
Sonia Sarfati, La Presse, le 27 février 1994
« L’auteur démontre encore une fois qu’il a le don d’aborder des thèmes graves et importants sans jamais faire de la morale à cinq sous, souvent monnaie courante dans la littérature jeunesse. »
Imagine, no.67, mars 1994
PELLICULES-CITÉS
« Quel plaisir que de lire un texte qui entre de plein fouet dans l’action, sans se perdre dans une description sans fin des personnages et des lieux! Jacques Lazure réussit ce jeu à merveille, nous fournissant en cours de route tous les éléments nécessaires à la compréhension de l’action qu’il développe sous nos yeux. »
Lynn Lapostolle, Lurelu, automne 1992
« L’auteur a eu la bonne idée de faire de notre fiction d’aujourd’hui, la réalité de demain. Un petit bouquin qui se lit d’un trait et qui regorge de références cinématographiques qui nous font sourire. »
Sylvie Bellemare, Filles d’aujourd’hui, août 1992
LE DOMAINE DES SANS YEUX
« Le Domaine des Sans Yeux est un roman que j’ai bien aimé. C’est facile à lire et c’est une belle histoire originale. Je recommande fortement aux jeunes et, pourquoi pas, aux adultes de lire cette merveilleuse histoire. »
Chantale Rivard (14 ans), Québec-Français, été 1990
« Ce roman de science-fiction trouble toute conscience tranquille. (...) Un très beau roman, dur, consistant et respectueux de la force sociale que représentent les jeunes lecteurs et lectrices. »
Vie pédagogique, no.66, avril 1990
« La richesse de son imaginaire, la prégnance de l’essence véritable de la SF dans son récit, la capacité d’innovation dont il fait preuve m’autorisent à croire que l’auteur marquera la SF québécoise pour jeunes. »
Claude Janelle, L’année de la science-fiction et du fantastique québécois, 1989
LA VALISE ROUGE
« La langue de Jacques Lazure est belle, vivante, prenante. Le symbolisme est permanent et rejoint toujours, d’une certaine façon, ce qui est au plus profond de nous.»
Le Quotidien, 20 février 1988
« Ouvrir La valise rouge et s’étonner de tout ce qu’elle contient. Lire la première nouvelle, « Criolaine », et avoir le sentiment que tout a été dit. Lire la deuxième, « L’expérience » et comprendre que l’oeil est entraîné dans une grande aventure d’écriture qui ne prendra fin qu’au point ultime de la treizième nouvelle. »
Anne-Marie Ouellet, Nos livres, vol. 19, no.4, mai 1988